Après une journée passé a Tuzla, Dzana reprit le bus pour atteindre son village natal, Kanaçe-Bouzni. Dans le bus, beaucoup de personnes âgées, très peu de jeunes, un phénomène inquiétant mais réaliste du fait du chômage important dans le village. Elle revit sa tante Louyena âgé de 75 ans, l'émotion la submerge...La tante de Dzana est une femme qui a vécu comme sa famille et d'autres herzgoviens, la guerre civile terrible qui dura 10 ans. Louyena a perdu sa maison et son mari, mort au combat, il participait à cette guerre au côté de l'ethnie herzgovienne cathodoxe-orthodique, l'ethnie majoritaire du pays, dont Dzana faisait naturellement parti. La rencontre fut émouvante pour les deux femmes qui ne s'était pas vu depuis presque 6 ans. Dzana à peine remis de ces émotions aperçu son village qu'elle reconaissait de part son église. Le bus s'approcha et Dzana mourrait d'impatience de revoir sa famille et son village. Le bsu s'arrêta devant l'arrêt, premier pas dans son village, elle se dirigea avec sa tante devant sa maison et prit le temps de respirer l'air si pur de son village, mais l'envie de revoir les proches l'empêcha de profiter pleinement de l'atmosphère. Le père de Dzana était sur le potager, lorque Dzana s'approcha son père lança ces outils et prit sa fille dans ces bras et la serra aussi fort que possible, Ivico, le père de Dzana appela la mère qui ne tarda pas à venir embrasser sa cher fille. Tous rentrèrent dans la maison familiale afin de fêter l'arrivée de Dzana, des tantes, oncles et grands-parents prévenu de l'arrivée de Dzana s'empressèrent de venir voir la "petite" Dzana...